J'en ais pas l'air comme cela, mais le soir, quand j'ai de l'inspiration, j'écris des poémes =P.................................
Dans cette armure vide,
Bien que tu ne puisse dormir,
Tu attend dans ce silence torride,
Et tu pousse un dernier soupir.
Avant de t'enfonçer dans les marrées,
Tu enlève ton casque,
Comme un guérier,
Dévoilant son visage derière son masque.
Tu repense a ton défunt frère,
Qui durant toute sa vie,
Rechercher la pierre légendaire,
Qui pouvait te redonner l'envie.
Tu continue à marcher droit devant toi,
Sans maitres, ni lois.
L'eau salée qui pénètre dans ce corp de fer,
Ronge lentement le sceau de sang qui lie ton âme a ce monde amère.
Comme un Flashs back, tu revoie le sourir de tout ceux qui t'on cotoyé.
Et tu fait une dernière prière avant de tout quitté.
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Attendant devant mon cahier,
L'encre noire de ma plume vint le souiller.
Exactement comme tes écrits,
Sur mon cœur meurtrit.
Trop de tristesse est en moi,
Mais je ne veux pas te rajouter ce poids.
Une larme vient s'affaisser,
Sur ces pages jaunies et plissées.
Pourquoi donc me la tu dis,
Encrant cela dans mon esprit,
Et Anéantissant tout mes espoirs
De un jour te revoir
La vie n'est pas Paradis,
Cela tu me la bien appris,
Mais sans toi ce n'est qu'un Enfer,
La où règne Lucifer.
Plonger dans cette mer,
Composée seulement de mes larmes amères.
Mes sanglots, mes pleurs,
Rien ne pourra te faire revenir, j'en ais bien peur.
Soufflant sur la flamme cette bougie,
Seul éclat de lumière dans ma vie.
Je me lève de cette vielle chaise en bois,
Et vint me couchée, sentant encore ton souffle chaud sur moi.
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Je te connais depuis si longtemps,
Je me rappelle encore de ta silhouette d'enfant.
Toi mon ami d'enfance,
Mais tu est bien plus maintenant que j'y pense.
Revoyant l'enfant que t'était d'antan,
Maintenant je vois un adolescent.
Bien que tu as changé,
Tu a toujours la même personnalité.
Tu est devenu plus grand,
C'est bien l'effet du temps.
Mais moi aussi,
J'ai bien grandis depuis.
Mes sentiment ce sont développer,
Maintenant je ne fait que t'aimer.
Je veux tout te dire, tout te dévoiler,
Mais j'ai juste peur de me faire jeter.
Je ne veut te faire souffrir,
Je préfère te voir sourire.
Cela m'emplit le cœur,
D'un pur bonheur.
Les flash de notre enfance m'inonde,
Nous courant sur la colline de notre petit monde.
Mais La campagne a était remplacée par le centre.
Comme la blanche feuille souillez par l'encre.
Notre lieu de naissance,
Celui ou on a passé toute notre enfance.
A bien changé, mais il reste des traces.
De son passé, qui ne s'effaces.
Comme notre cœur et notre âme.
Dans ce monde Infâme.
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